Pour Panorama-Cinéma, voilà ce sur quoi je planche depuis un moment, un regard sur le cinéma d’action hollywoodien et son lien à la politique : ma première partie ici sur les années 80, une deuxième à paraître prochainement pour faire le pont jusqu’à aujourd’hui. Une sorte de supplément à mes textes sur La Chute de l’Homme, un autre angle pour aborder ce corpus (le lien avec ce que j’ai déjà écrit à ce sujet se dévoilera dans la suite des choses).
Et pour faire suite à cette chronique, ma critique de Die Hard est maintenant en ligne. Ce texte fut une véritable obsession (c’est tout de même l’un de mes films cultes), je n’ai jamais autant réécrit, et je ne suis pas encore certain du résultat final (difficile de se faire une idée d’un texte quand on a encore trop le nez collé dessus). Qu’importe, comme j’en avais trop à dire sur le sujet, je publierai ici d’ici un jour ou deux une analyse plus longue du film, sur l’un de ses motifs les plus éloquents, c’est-à-dire les pieds de John McClane.