La deuxième (et dernière) partie de ma chronique sur le cinéma d’action pour Panorama-Cinéma, de la fin des gros bras jusqu’à Paul Greengrass, avec un aperçu de la politique d’acteur de Sylvester Stallone. Ouf! Ai-je envie de dire, ça m’a tracassé longtemps tout cela. L’aspect politique n’est pas mon fort normalement, mais je suis bien content de l’avoir emprunté, ce qui m’a permis d’aborder ce corpus selon un angle que j’aurais négligé autrement. L’avantage d’écrire pour les autres : se sortir de soi-même pour mieux y revenir!