Je n’aurais jamais pensé écrire un jour sur un spectacle filmé de Justin Timberlake, même si je l’aime bien, et même si ledit film est fait par Jonathan Demme. Mais voilà, aujourd’hui, ce texte imprévu sur ce film fascinant, à Panorama-Cinéma.
(Et après avoir vu depuis Something Wild, je rajouterais qu’il faut sûrement y chercher aussi un point de vue sur l’Amérique, et que la figure du miroir, dont je parle dans le texte, avec deux individus en face à face qui trouvent chez l’autre un reflet inattendu d’eux-mêmes, est importante dans le cinéma de Demme.)