Une énième tentative de cerner le cinéma de Terrence Malick, cette fois centrée sur son cinéma récent et ce qui a changé par rapport à hier. Je suis rarement satisfait de mes textes sur Malick, ils tournent toujours autour des mêmes termes, les mêmes questions, et je n’ai jamais la sensation d’arriver à dire ce que je veux dire. C’est peut-être une bonne chose, peut-être pas, en tout cas vous pouvez juger de mon dernier essai, à Panorama-cinéma. (Mais je viens de le relire, et finalement je suis pas mal content – merci à Mathieu en passant qui m’a aidé à guider le texte vers la conclusion qu’il lui fallait).