Toujours à Panorama Cinéma, une critique de la série de Netflix, Stranger Things. « Nostalgie à vendre » ça s’appelle : du Spielberg sans âme, ça donne un bien piètre hommage.
Gus Van Sant: To Die For (1995)
Comme vous pouvez le constater, cette rétrospective n’aura rien de chronologique; l’ordre des textes ne tiendra pas, non plus, d’une logique secrète, reliant subtilement les films de Gus Van Sant…
La tyrannie du plan-séquence
Un bon ami à moi pratique le métier de critique de cinéma. Je veux dire : un vrai critique de cinéma, qui est payé pour faire ce travail par des…
Ce petit écran qui se veut grand, prise 2
(Paru sur le blogue de Séquences.) Je l’ai déjà écrit ici auparavant : je n’aime pas particulièrement la télévision, et je ne partage pas cette idée de la suprématie des…
Et la vie continue…
(Paru sur le blogue de Séquences.) Je le disais la semaine dernière, et ça vaut le coup de le répéter encore, The Wire est la meilleure narration filmée de ce…
Ce petit écran qui se veut grand
(Paru sur le blogue de Séquences. Avril 2015 : Je ne serais pas aussi prompt aujourd’hui à qualifier les séries télévisées de cinéma : il y a, comme noté ci-bas,…
De l’image au simulacre
Pour commencer, rappelons que mes entrées précédentes s’inspiraient de ma lecture des Bâtards de Voltaire, un essai de John Saul sur la dérive de la raison dans la société occidentale…
La mort de l’image
Je commencerai par une rectification : dans mon empressement de publier mon précédent message, j’ai passé outre une certaine confusion entre «spécialiste» et «critique», due à trop de généralisations. Le…